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La croyance en la théorie de Darwin
Chers lecteurs, nous abordons aujourd’hui le troisième volet de notre exposé dont l’objet est la réfutation de la théorie de Darwin, théorie qui sert de socle à la mécréance sur Terre qui nie l’existence du Créateur et qui avance l’idée que toutes les créatures terrestres sont apparues d’une créature primaire unicellulaire qui a évolué à travers les âges pour aboutir à l’homme. Cette théorie dispense ainsi l’être humain de ses responsabilités et dicte qu’il n’y a pas d’au-delà, pas de paradis, pas de feu de l’enfer, et surtout pas de Dieu. Cette théorie part de l’idée que la raison appartient au plus fort, et ce qui se passe actuellement dans le monde ne peut trouver d’explication que par le fait que les tyrans d’aujourd’hui ne jurent que par cette théorie. Il est par conséquent inconcevable pour un individu, quel qu’il soit, de croire avec certitude qu’il devra un jour rendre des comptes des faits dont il se rend coupable ; et les preuves et les exemples sur le sujet se comptent par milliers.
Si on considère un citoyen quelconque qui vit dans un pays où existent des lois. S’il possède la certitude que la violation d’une loi dont il se rend coupable parviendra à la connaissance du législateur, et qu’il devra en répondre, il est mille fois quasi impossible qu’il la commette. C’est pour cela que lorsqu’une personne croit en cette théorie de Darwin, elle pense qu’elle est dispensée de cette responsabilité, et que tout écart comportemental de sa part est justifié de facto. Pour que cette personne trouve son équilibre, elle recherche un écart par rapport à la religion, et chaque fois que la brèche de cet écart s’agrandit, la conception qui est à l’origine de cet écart s’approfondit. Si la personne est un criminel et un tyran, ce qui couvre ses actions c’est sa certitude qu’il n’existe pas de Dieu, qu’il n’y a ni jugement, ni tourments, ni paradis, ni feu de l’enfer ni aucune responsabilité.
Nous abordons la troisième partie de notre sujet sur la théorie de Darwin. Cette troisième partie ne constitue qu’une introduction.
La réfutation de la théorie de Darwin.
Elle repose sur les fossiles, et ce, du moment que Darwin est convaincu que les créatures vivantes ont pour origine commune une cellule unique qui s’est développée par la suite. Prenons quelques exemples: selon cette théorie, des poissons ont donné, après des centaines d’années, des oiseaux. Par conséquent, on devrait nécessairement trouver des restes de milliers de créatures intermédiaires entre les poissons et les oiseaux. Si la découverte de fossiles confirme l’existence de telles créatures intermédiaires, cela voudra tout simplement dire que la théorie de Darwin est juste ; par contre, si de telles créatures ne sont pas présentes parmi les fossiles, la théorie est tout simplement fausse.
L’archéologie détruit la théorie de Darwin.
Ce n’est pas la biologie seule qui a ébranlé la théorie de Darwin au début du vingtième siècle, l’archéologie a également contribué à cet effondrement. En effet, des fouilles se sont multipliées à travers le monde pour révéler des restes d’animaux fossilisés entre des couches sédimentaires. Ce qui est curieux, c’est que depuis l’apparition de la théorie de Darwin jusqu’à nos jours, les milliers de sites fouillés à travers le monde pour trouver ces créatures intermédiaires entre poissons et oiseaux n’ont pu faire découvrir un seul fossile confirmant le bien fondé de la théorie de l’évolution ni aucun fossile représentant la forme d’une créature intermédiaire entre deux espèces connues.
Nous avons appris de la théorie de Darwin que la gazelle est devenue girafe ; il est par conséquent normal qu’on puisse découvrir dans les sédiments un fossile d’une créature intermédiaire entre la gazelle et la girafe, c'est-à-dire une créature au cou d’une longueur entre celle du cou de la gazelle et celle du cou de la girafe.
Cette théorie nous a également appris que l’ours est devenu baleine bleue ; il est par conséquent logique que l’on puisse trouver la créature intermédiaire entre les deux. Là également, aucune découverte archéologique n’est venue confirmer cette théorie de l’évolution. Tout le monde sait pourtant que les fossiles sont des restes d’animaux ayant évolué sur terre dans le passé.
La formidable richesse de la vie à travers la diversité d’êtres vivants qui ont fini par disparaître et se sont vus subitement isolés des effets de l’atmosphère ne nous est parvenue que partiellement. Leurs restes nous fournissent de précieux renseignements sur ce qu’ils étaient à la surface de la Terre. Si la chair, les organes et les parties molles ont disparu, il n’a subsisté que le squelette osseux sous forme de fossile. C’est pour ainsi dire l’interprétation consécutive à l’étude du fossile qui permet d’apporter des réponses scientifiques sur la façon dont sont apparues les créatures selon la théorie de l’évolution telle qu’avancée par Darwin.
Selon cette théorie, sont apparues dans un premier temps des créatures unicellulaires qui ont évolué au cours de centaines de millions d’années pour donner des créatures aquatiques sans squelettes, puis des poissons qui ont fini par quitter le milieu aquatique pour la terre ferme où ils se sont transformés en reptiles qui ont donné les oiseaux d’un côté et les mammifères de l’autre.
S’il y avait une part de vérité dans ces allégations - et c’est un point capital de cet exposé -, on aurait trouvé nécessairement des êtres intermédiaires ou des êtres dotés de plusieurs marques communes de passage entre les espèces vivantes concernées par les transformations.
Par exemple, si les oiseaux étaient véritablement issus des reptiles, l’archéologie aurait nécessairement mis à jour des millions de fossiles d’êtres vivants mi-reptiles mi-oiseaux avec des organes intermédiaires non intégrés ou tout simplement incomplètement formés. Darwin a donné le nom « d’hybrides » à ces créatures, et il était persuadé de leur existence ; du moment que l’évolution s’effectuait pendant de longues périodes. Il était d’ailleurs conscient que pour confirmer ce qu’il avançait, il lui fallait découvrir des fossiles dans les différentes couches sédimentaires. C’est ainsi qu’il écrivit dans son ouvrage : « l’Origine des Espèces » et c’est la raison pour laquelle j’ai déclaré que la première personne qui est convaincue que la théorie de Darwin est fausse est… Darwin lui-même ! En effet ; que déclare Darwin ? Il déclare en substance : « si ma théorie est vraie, il est impératif (ce sont ses termes) qu’il y ait eu plusieurs créatures hybrides en phases d’évolution qui relient les différentes espèces entre elles ; et nous savons que la preuve de ce phénomène ne peut se trouver que dans des fossiles. Malheureusement, Darwin savait que les sédiments n’ont révélé aucun fossile de créature hybride. C’est pour cette raison qu’il a consacré un chapitre important de son ouvrage, chapitre dans lequel il présentait ces questions préoccupantes.
Il se posa cette question : « si des espèces ont effectivement évolué très lentement et par étapes à partir d’autres espèces, pourquoi ne découvre-t-on pas des squelettes de créatures d’étapes intermédiaires qui devraient normalement se compter en quantités innombrables ? Pourquoi ne se trouvent-elles dans aucune couche sédimentaire ? » Puis il précise : « si des recherches minutieuses sont menées à travers les couches géologiques, on découvrira sûrement des fossiles représentant ces créatures intermédiaires hypothétiques. » C’est pour cette raison que les évolutionnistes qui sont venus après lui ont passé cent quarante ans à fouiller les couches sédimentaires… Darwin ajoute : « Si les fossiles ne révèlent aucune forme de créature hybride intermédiaire, c’est que ma théorie est fausse. » Il avait misé sur l’avenir qui devait révéler la présence de ces créatures hybrides fossilisées dans les différentes couches sédimentaires.
Aujourd’hui, le monde entier reconnait que tous les efforts fournis par les spécialistes pendant cent quarante ans se sont achevés sur un échec total, et les créatures intermédiaires hybrides imaginées par Darwin demeurent une pure fiction.
L’archéologie échoue des créatures hybrides intermédiaires.
Le premier constat veut que l’archéologie ne soit pas parvenue à prouver l’existence des créatures hybrides intermédiaires. Par conséquent, selon l’aveu de Darwin lui-même, sa théorie est fausse ; ce qui constitue la meilleure preuve. Ce constat a amené le savant britannique Birke, l’un des défenseurs les plus acharnés de l’évolutionnisme à déclarer: « notre problème réside dans le fait que lorsque nous entreprenons des fouilles dans les couches sédimentaires, nous nous trouvons face à une réalité limpide ; que ce soit au niveau du sexe, ou à celui de la catégorie, à chaque fois, l’apparition des groupes se fait de manière subite, et non selon un procédé évolutif. »
Encore une fois, il est à remarquer que les déclarations qui se trouvent dans cet exposé sont des citations d’éminents savants occidentaux qui étaient connus comme des champions de la théorie de l’évolution. Durant cent quarante ans, ces savants n’ont pu découvrir des créatures hybrides intermédiaires. Par conséquent, cette théorie est tout simplement fausse ; surtout que Darwin en personne a tenu à préciser : « si l’archéologie ne confirme pas ma théorie, c’est qu’elle est fausse. »
Abordons maintenant les couches géologiques du Cambrien ( -542 à - 488 millions d’années) qui est l’une des plus anciennes périodes géologiques, en fait la plus ancienne de l’ère du paléozoïque.
Considérons dans un premier temps le pétrole. Comment s’est-il formé ? C’était au courant de périodes géologiques très anciennes et très pluvieuses qui ont permis l’apparition de plantes géantes qui ont été enfouies progressivement au cours des âges avec des restes d’animaux ; ce qui a donné le pétrole. La preuve se trouve dans le Noble Coran :
« c’est lui qui, de l’arbre vert a fait pour vous du feu ; et voilà que de cela vous allumez le votre. »
Les couches de la période du Cambrien constituent les plus anciennes couches dans lesquelles ont été trouvés des fossiles d’êtres vivants. Leur âge se situe entre 530 et 500 millions d’années, la plus ancienne datant d’il y a 550 millions d’années avant notre ère. Les fossiles découverts dans les différentes couches de cette période sont très bien conservés. Par contre, dans les couches du précambrien, c'est-à-dire la période qui a précédé le cambrien, on ne trouve que des fossiles de créatures unicellulaires, et rien d’autre. Par contre dans les couches du cambrien, il y a une profusion de fossiles d’une grande diversité d’êtres vivants, puisque nous trouvons jusqu’à trente espèces d’invertébrés, comme les méduses, les trilobites, les gastéropodes, qui sont apparus subitement et qui n’ont évolué à partir d’aucune créature précédente.
Ces créatures bénéficiaient déjà du système circulatoire sanguin ainsi que d’autres systèmes et des organes complexes. L’œil du trilobite par exemple est constitué de centaines de facettes en forme de lentilles qui fonctionnent de la même façon que le le système des lentilles doubles qui est le modèle de conception idéale. Ce type d’œil dit « schizochroal » ou « holochroal » est le premier qui est apparu sur Terre. Il conforte Darwin dans ses allégations que les êtres vivants ont évolué à partir d’organismes primaires rudimentaires. En fait, il nie catégoriquement ces allégations pour la simple raison que les types d’yeux à facettes et à lentilles doubles qui existaient il y a 530 millions d’années sont exactement les mêmes aujourd’hui. De nos jours, certains animaux possèdent exactement les mêmes yeux complexes.
Le postulat darwinien selon lequel tout a commencé avec un être primitif qui a évolué n’a donc aucun fondement. En plus de cela, les yeux schizochroal ou holochroal des trilobites sont restés inchangés et sans la moindre modification à ce jour, et nous pouvons observer les mêmes types d’yeux chez les abeilles et les libellules. Selon la théorie de l’évolution, les espèces de créatures vivantes ont évolué à partir d’autres créatures de constitutions rudimentaires alors qu’on ne trouve avant les trilobites et leurs contemporains du cambrien aucun animal doté de formes et de constitutions complexes. Autrement dit, les créatures du cambrien ont apparu subitement, sans le concours d’aucun ancêtre. C’est ainsi que Dieu Tout Puissant a décidé d’une chose :
« son commandement consiste à dire « soit » et cela est.»
La création d’êtres qui non rien de primitifs et qui sont très complexes date d’il y a 530 millions d’années. L’histoire de l’humanité date d’environ 6000 ans ; soit 4000 avant et 2000 ans après J.C. C’est tout ce qu’il y a comme histoire de l’homme. Depuis 530 millions d’années, aucun animal intermédiaire ou en évolution n’a été observé ; par contre il y a eu création subite, diversifiée et complète.
Selon les évolutionnistes, toutes les espèces de créatures ont évolué à partir d’autres créatures primitives alors qu’avant les trilobites et leurs contemporains du cambrien il n’existait aucune créature de constitution complexe, ce qui signifie que toutes les créatures du cambrien sont apparues subitement sans qu’elles aient eu un ancêtre.
Le zoologiste anglais Richard Dawkins (1941 …), un des grands défenseurs de la théorie de l’évolution, se prononce sur ce sujet : « Il semble que les êtres vivants qui vivaient au cours de la période du cambrien soient apparus tels qu’ils sont aujourd’hui, dénués d’histoire évolutive. » Ce sont les termes utilisés par ce savant. Ils signifient que la théorie de Darwin a vécu, parce que Darwin a déclaré dans son ouvrage, « l’origine des espèces », ce qui suit : « S’il s’avère que plusieurs espèces sont apparues à la vie subitement et en même temps, se sera le coup de grâce porté à ma théorie qui veut que toutes les créatures sont issues d’un ancêtre unique en vertu du principe de la sélection naturelle. Ce coup de grâce que craignait Darwin, a ébranlé sa théorie grâce aux fouilles archéologiques entreprises sur les couches sédimentaires de la période du cambrien. Il déclara en substance : « Si les fouilles ne révèlent pas de créatures hybrides intermédiaires, c’est le coup de grâce porté à ma théorie. » Ainsi, la première personne qui contredit cette théorie se trouve être son auteur en personne.
Ainsi, les créatures vivantes d’il y a 530 millions d’années dont les squelettes ont été révélés dans les couches sédimentaires du cambrien et suivantes, sont apparues subitement dotées de constitutions complètes sans le moindre handicap. Les poissons, les amphibiens, les reptiles, les oiseaux, les mammifères et autres qui constituent les principaux groupes de créatures vivantes qui comptent des centaines de milliers d’espèces variées, sont donc apparus subitement sans obéir à aucune forme d’évolution, avec des constitutions complètes et sans handicaps. Il n’existe pas un seul exemple parmi ces groupes et ces espèces qui présente un quelconque caractère évolutif ou transitoire, ou une quelconque structure intermédiaire… Gloire à Dieu ! N’est-ce pas là la signification claire de ces paroles ? « le mensonge est destiné à disparaître » du verset :
« et dis : la Vérité a surgi et le mensonge (l’erreur) a disparu ; car le mensonge est destiné à disparaître.»
En fait, le mensonge ou l’erreur ont un temps de vie limité ; et ils ont été inventés artificiellement pour contrecarrer la religion.
L’évidence mise à jour par les fossiles démontre que les créatures vivantes ont été l’œuvre indépendante de Dieu Tout Puissant.
L’éminent paléontologue évolutionniste Mark Czarnecki souligne ainsi cette vérité: « Les fossiles constituent désormais et à jamais un obstacle majeur face à la tentative de démontrer la véracité de cette théorie. » Pas une fois les fossiles n’ont révélé le moindre indice avancé par Darwin sur l’existence d’étapes intermédiaires. Le fait que les créatures vivantes soient apparues subitement constitue un phénomène non prévu qui conforte l’opinion des créationnistes. Ces derniers avancent l’idée que la création de toutes les créatures vivantes est d’essence divine.
Aujourd’hui, l’opinion mondiale est divisée en deux: ceux qui croient que toutes les créatures dans la diversité de leurs espèces, de leurs genres et de leurs couleurs ont été créées subitement par Dieu Tout Puissant, de constitutions complètes, sans handicaps, dans leurs grandes complexités ; les autres par contre qui nient l’existence de Dieu, persistent dans leurs illusions que toutes les créatures vivantes sont issues d’une cellule unique qui s’est multipliée, puis a évolué jusqu’à l’état actuel de la vie. En plus de cela, ils reconnaissent qu’il n’y a aucune différence - ici réside la précision – entre les créatures qui ont vécu il y a des millions d’années et celles qui vivent de nos jours.
Considérons le requin. Les fossiles de requins ayant vécu il y a 530 millions d’années montrent une similitude complète avec les requins d’aujourd’hui, sans la moindre trace de différence. La même similitude apparaît entre les abeilles ayant vécu il y a 100 millions d’années et nos abeilles actuelles. C’est la même constatation pour la libellule qui a vécu il y a 135 millions d’années et les libellules qui volent au dessus de nos mares et nos cours d’eau. La même vérité de similitude unit les chauves-souris d’il y a 550 millions d’années à celles qui hantent les nuits du monde contemporain. Aucune différence n’apparaît chez ces espèces si éloignées dans le temps. Ces créatures ont été créées telles quelles par Dieu Tout Puissant, et elles sont demeurées telles quelles depuis leur création à ce jour, sans la moindre trace d’évolution.
Concernant les quelques exemples que les évolutionnistes ont présenté comme preuves d’étapes transitoires dans le processus d’évolution, ils ne présentent aucune part de vérité, étant donné que ces spécimens ne présentent aucun caractère ou trace de processus d’évolution, les découvertes scientifiques ayant apporté la preuve de ce fait.
Démenti pseudo darwinien.
Considérons une des idées fausses de Darwin.
1 – le poisson cœlacanthe.
C’est peut être le modèle que les évolutionnistes ont présenté qui a fait le plus parler de lui. Il s’agit d’un poisson à qui on a donné le nom de « cœlacanthe ». Pendant des décennies, les évolutionnistes ont prétendu que le fossile de ce poisson découvert dans des couches sédimentaires remontant à – 75 millions d’années présentait des caractères de créature intermédiaire ; qu’elle avait quitté le milieu aquatique pour s’adapter au milieu terrestre et que ce faisant, elle s’était dotée de pattes primitives. C’est ainsi qu’ils ont imaginé ce poisson doté de pattes primitives et d’une moitié de poumon et qu’ils l’ont présenté comme fait scientifique indéniable. Ils ont même effectué des dessins montrant cette créature sortant de l’eau pour « coloniser » la terre ferme. Ces esquisses ont été incluses dans les programmes scolaires et universitaires et ont même véhiculé cette histoire de poisson quittant le milieu aquatique pour coloniser la terre ferme.
En 1928, un spécimen du cœlacanthe, présumé disparu depuis des centaines de millions d’années, a été pris dans les mailles de filets de pauvres pêcheurs d’une île de l’océan Indien. Ce précieux spécimen de fossile, témoin unique considéré comme la créature hybride intermédiaire par excellence: poisson doté de pattes rudimentaires, possède en fait un sosie, mais bien vivant, évoluant de nos jours dans l’océan Indien.
La surprise est très grande chez les évolutionnistes. Ils sont stupéfaits, et ils se sont rendus compte que le spécimen fossile et le spécimen vivant ne présentent aucune différence malgré les décalages du temps entre les deux créatures ; qu’en fait, les deux exemplaires ne présentent ni pattes, fussent-elles rudimentaires, ni demi poumon comme ils l’ont prétendu. Enfin, ce poisson qu’ils ont présenté comme sortant de l’eau pour s’aventurer sur la terre ferme, ils ont fini par se rendre qu’il est toujours aquatique et qu’il préfère évoluer dans les fonds de plus de 85 mètres.
2 – L’archéoptéryx.
Il s’agit d’un autre spécimen de créature découverte fossilisée, ayant vécu à la fin du Jurassique, entre – 156 et – 150 millions d’années, que les évolutionnistes présentent comme une créature mi-oiseau mi-reptile qui ne peut pas voler convenablement. Lorsqu’en 1992 on a découvert un autre spécimen fossilisé plus complet et mieux préservé, comportant un bréchet ou crête sternale au niveau du thorax, c'est-à-dire un os essentiel pour les muscles pectoraux indispensables pour le vol, on a dû se rendre à l’évidence qu’il s’agissait tout simplement d’un oiseau bien formé, qu’il pouvait parfaitement voler.
Concernant ce qui ressemble à des griffes et qui se trouve sur les ailes de certains oiseaux imaginaires, tel l’archéoptéryx, ces preuves ont suffi pour démentir l’allégation selon laquelle cette créature constitue une étape transitoire entre les reptiles et les oiseaux.
C’est ainsi qu’un savant d’une célèbre université occidentale ‘Harper Adams ?’, connu pour sa défense de la théorie de l’évolution, a dû reconnaître que ce qu’il considère comme un canular ne constitue nullement une étape intermédiaire ou transitoire, qu’au contraire nous sommes en présence de systèmes ordonnés et classés selon les conditions de vie en milieu aquatique et les créatures terrestres diffèrent également entre elles. Les évolutionnistes prétendent que les reptiles ont évolué vers les oiseaux grâce à des facteurs dus au hasard, alors que les reptiles sont connus comme des créatures à sang froid, et les oiseaux comme des créatures à sang chaud ; d’autre part, les oiseaux possèdent des plumes structurées et agencées de façon très complexe alors que les corps des reptiles sont couverts d’écailles qui ne présentent aucune ressemblance avec les plumes.
Les oiseaux sont également dotés de poumons qui diffèrent de ceux de tous les autres animaux terrestres, et il n’est pas possible d’expliquer par l’évolution les particularités permettant le vol que possèdent les oiseaux, comme il est impossible de concevoir que ce phénomène est le résultat de changements minimes survenus par étapes successives comme le prétend la théorie de l’évolution ; tout simplement parce que l’aptitude au vol est impossible avec la moitié d’une aile ou avec une aile incomplètement formée d’une créature intermédiaire.
3 – Mi-mammifères mi-reptiles.
La théorie de l’évolution prétend également que les animaux mammifères ont évolué à partir de certains reptiles alors que les reptiles sont très différents. Il est connu que les reptiles sont ovipares alors que les mammifères sont vivipares. Le corps des reptiles est couvert d’écailles alors que celui des mammifères est couvert de poils. Les mammifères possèdent un mécanisme de sécrétion lactaire qui leur est exclusif et les évolutionnistes sont incapables à ce jour d’expliquer comment sont apparus ces mécanismes et ces spécificités.
La théorie de Darwin s’est effondrée en occident
Quant à moi, je suis persuadé qu’un étudiant qui ne montre pas une volonté inébranlable pour détruire et rejeter cette théorie, ne peut prétendre inviter les gens à suivre la voie de Dieu ; tout simplement, parce que l’adversaire se base sur cette théorie qui nie la religion de façon catégorique alors que la religion déclare de façon très claire que la création pour les humains a débuté avec Adam et Eve au moment où l’autre partie déclare que l’homme est le descendant du singe. De toutes les façons, ce qui désole le plus, c’est que cette théorie s’est effondrée chez eux et chez la majorité de leurs savants et chez ceux qui ont montré le plus d’intolérance alors que nous autres en orient, nous nous y accrochons encore et nous l’enseignons encore dans nos universités et nos lycées. La théorie de l’évolution figure encore dans toutes les publications spécialisées comme la théorie mère de la vie ; ce qui signifie que nous traitons Dieu Tout Puissant de menteur alors que nous savons que quiconque nie un verset du Noble Coran devient mécréant sans le savoir. Si un étudiant croit que l’homme, selon cette théorie, est le résultat d’une série d’évolutions successives issues du singe, il rejette automatiquement ce que contient le Noble Coran en la matière, à savoir :
« la préférence de la parole de Dieu sur toutes les autres parole est pareille à la préférence de Dieu sur toutes Ses créatures. »
Histoire des 8 cranes
(affaire de l’homme de Piltdown ou Homo Eoanthropus Dawsoni ) et leur relation avec la théorie de Darwin.
La vérité est dans ce même paragraphe. Il s’agit de huit cranes exposés dans des musées. Ces cranes connus sous le nom de cranes de l’homme de Piltdown étaient destinés à confirmer la théorie de Darwin. Il s’est avéré par la suite que ces cranes étaient des faux, façonnés avec du gypse. Après le scandale dont ils ont été à l’origine, ils ont été retirés des musées au bout d’une année.
C’est une affaire très complexe. Pour confirmer la véracité de la théorie de l’évolution, des individus (éminents) n’ont pas hésité à falsifier l’histoire (ici la préhistoire). Ils ont déclaré avoir découvert des cranes de créatures intermédiaires entre le singe et l’homme. En fait, des saillies en gypse ont été ajoutées sur les cranes pour donner le change, supercherie qui a été découverte et qui a conduit au retrait des cranes contrefaits. Rappelons-nous le verset :
« le mensonge est destiné à disparaître. »
L’importance de la science dans la vie
Considérez notre slogan: « Si tu veux la vie, recherche la science ; si tu veux l’au-delà, recherche également la science ; et si tu les veux les deux, recherche toujours la science. »
Nous avons appris qu’ils ont pris un crane auquel ils ont ajouté des saillies, qu’ils l’ont ‘travaillé’, et qu’ils l’ont dissimulé sous terre. Ils ont par la suite simulé sa découverte fortuite devant témoins. Ils l’ont retiré du sol et exposé au musée. Des experts l’ont ensuite étudié et ont découvert la supercherie…
Il n’y a pas pire réalité que celle d’un individu doué d’un savoir fragmentaire, voire approximatif, l’empêchant ainsi de profiter de ce peu de savoir; et qui, en plus refuse d’apprendre. C’est ainsi que si le savoir d’un individu n’est pas suffisant, il devient un fléau. La science ne te donnera une partie de ce qu’elle recèle que si tu te donnes en entier à elle. Si tu ne lui accordes qu’une partie de toi, elle ne t’accordera rien. Un individu pourra prétendre être savant tant qu’il recherchera la science ; s’il pense qu’il a appris, c’est qu’il est devenu ignorant. A l’approche de sa fin, l’homme découvre la réalité absolue, la preuve en est ce verset :
« Nous avons retiré le voile qui couvrait tes yeux, de sorte que ton regard est aujourd’hui devenu perçant »
Toutes ces illusions, ces idées fausses, ces tentations sont soutenues par les désirs et les écarts de conduite, par l’envie, la tyrannie, l’appât du gain et la soif du pouvoir. C’est pour cette raison que l’homme ne s’en éloigne que vers le terme de sa vie, parce que la vérité surgit et lui fait dire :
« Il dira: hélas, que n’ai-je fait du bien pour ma vie future ? »
La chose la plus grave est que quelqu’un, toi par exemple, puisse être la cause de la perdition des hommes.
Considérons l’exemple suivant: Soit un individu qui s’adonne aux boissons alcoolisées, mais qui se repent, puis meurt ; et un individu qui publie un ouvrage dans lequel il défend la théorie de Darwin, puis il meurt alors que son livre est sur le marché. Il est certain qu’il est mille fois préférable pour un individu de tomber dans l’erreur et de s’en repentir que de travestir une vérité en matière de religion.
C’est dans ce sens que l’imam Al-Ghazali a écrit: « Il est préférable pour quelqu’un de commettre les péchés capitaux que de dire sur Dieu ce qu’il ne sait pas. » En effet, si quelqu’un commet des péchés capitaux, il peut s’en repentir ; par contre, il ne peut se repentir de la perdition. C’est ainsi que sentant leur fin proche, certains exégètes se sont repentis de quelques unes de leurs interprétations qui prêtaient à confusion. Ce qui a fait dire à quelques uns de leurs pairs : « un tel s’est repenti, pas son interprétation qui n’a pas encore été invalidée. » Le pire qui puisse survenir à quelqu’un, c’est par exemple de posséder une maison d’édition dans laquelle il fait éditer des livres mensongers dont il vend des milliers d’exemplaires à des gens qui ont pris connaissances des allégations mensongères et qu’ils ont prises pour vérité ; ce qui les a fait renier leur foi. De tels ouvrages appellent à la laïcité, prétendent que la religion signifie situation de faiblesse. C’est ainsi que de nos jours, on assiste à des situations telles celles-ci : l’individu qui a échoué dans sa vie redécouvre la religion ; s’il tombe malade, il se réfugie dans la religion ; s’il s’appauvrit, il court vers la religion ; mais s’il est riche et en pleine santé, il n’a que faire de la religion… Toutes ces idées nous ont été inoculées par l’occident.
Si quelqu’un a défendu de telles idées, puis les a diffusées dans des ouvrages de la maison d’édition qu’il dirige… C’est pour cela qu’il n’y a pas plus dangereux qu’une maison d’édition, parce qu’elle semble être une aire de la science. Si les ouvrages édités comportent des causes de perdition et que les gens y ont adhéré et qu’ils les ont par la suite professées, tout ce qui en découle comme écarts de conduite est sur le compte du responsable de l’édition du livre.
Ainsi, il n’y a pas d’écart de conduite sans qu’il y ait erreur ou mensonge dans la croyance.
Le sujet est darwinien, sujet d’une grande importance pour tout étudiant. Pourquoi est-il si important ? Imaginons quelqu’un en train d’exposer à une cinquantaine d’individus un verset du Noble Coran ou un hadith du Prophète (Bénédictions et salut sur lui). S’il se trouve dans l’assistance un athée qui croit en l’évolutionnisme, il se lèvera et lui lancera: « tout ce que tu dis est infondé ! Qui t’a dit que ce Coran est la parole de Dieu ? Ca ne peut être que la parole d’un homme très intelligent, peut être un génie dans son genre qui a pu faire croire aux gens qu’il est un prophète pour pouvoir en profiter. »
N’ayant pas d’arguments pour répondre à cet athée, ce dernier se montre plus fort que lui et le ridiculise en public.
Je souhaite que le savoir de quelqu’un ne soit pas approximatif ou fragmentaire ; nous avons besoin de grandes connaissances face aux ennemis de la religion. La bravoure, le courage et le savoir ne doivent pas être exhibés face aux croyants.
Un des savants, que Dieu leur fasse bonne rétribution, avait l’habitude de dire: « apportez-moi quelqu’un d’une boite de nuit vers la mosquée; ne m’en apportez-pas d’une mosquée à une autre… »
Il est plus facile de convaincre un musulman qui connaît des versets et des hadiths, car si tu lui dis: Dieu Tout Puissant a dit… Il capitule. Les capacités et les connaissances de quelqu’un ne doivent pas être brandies face à un croyant. Elles doivent faire leurs preuves face à quelqu’un qui peut dialoguer avec et qui possède des arguments contre une thèse ou une autre.
J’ai assisté une fois à la soutenance d’une thèse de doctorat au Liban. J’ai admiré le docteur qui supervisait les débats pour ce qu’il a présenté comme critique de l’ouvrage objet de la thèse. Il a dit : « cet ouvrage est utile pour les musulmans seulement ; imaginez qu’il puisse être lu par des non musulmans. Ainsi vous exposez le contenu de cet ouvrage dans un contenant vide pour les musulmans. Par contre, si vous le proposez aux non musulmans, vous versez ces connaissances dans un contenant plein. C’est ainsi que si vous n’avez pas la possibilité de convaincre les autres, c’est comme si vous n’avez rien fait. »
Ce que personnellement je souhaite de tout mon cœur, c’est que les questions d’ordre scientifique soient bien maîtrisées par les croyants, parce que de nos jours, les idées fausses et les causes de perdition se sont multipliées, surtout sur les sites informatiques comme internet, dans lesquels des milliers de sites s’attaquent au Noble Coran, et n’attachent plus aucune importance à tout ce qui s’appelle religion sacrée, prophète, envoyé de Dieu…
J’aime parfois ce qu’on appelle la vaccination. Si l’on vaccine quelqu’un contre le choléra par exemple, on lui inocule le virus du choléra, mais en quantité infime pour que l’organisme réagisse et prépare des anticorps contre une éventuelle invasion de ce virus. Cet anticorps est enregistré dans la mémoire du système immunitaire au niveau des ganglions lymphatiques. Si jamais la trace du virus apparaît, même après soixante dix ans, l’organisme est en alerte et le système prêt pour fabriquer des anticorps et faire face à l’invasion du virus.
Il est vrai qu’une personne peut, durant toute sa vie, ne jamais entendre parler d’idée fausse ou suspecte sur l’Islam. Elle ne rencontre aucun problème dans les cours ou les exposés et auprès des professeurs. Si un jour elle rencontre un athée qui lui vient avec plusieurs idées fausses, elle ne peut rien faire. C’est pourquoi il est nécessaire de connaître certaines de ces idées fausses, suspectes qui attaquent l’Islam, pour pouvoir réagir par une réplique précise, même dans une rencontre au cours de laquelle il est question d’appeler les gens sur la voie du Seigneur et que quelqu’un de malintentionné pose cette colle. On est ainsi prêt à y répondre avec mille et un arguments à notre disposition.
Il faut savoir qu’en matière de science, il n’y a pas de demi-solutions.
Je le répète encore une fois ; un individu qui possède des connaissances rudimentaires, voire fragmentaires, ne profite pas de ce qu’il connait, surtout qu’il refuse en plus d’apprendre. C’est pour cette raison qu’on dit : « apprenez avant d’avoir à gouverner. Si vous gouvernez déjà, vous n’apprendrez rien. »
Imaginons quelqu’un en possession d’un doctorat en médecine, acquis en Amérique, qui assiste à un exposé d’ordre religieux ; il a avec lui un diplôme. Qu’est-ce qu’il a obtenu avec ? C’est un savant dans sa spécialité ; mais en matière de religion il n’est rien ; il est ignorant dans ce domaine.
Considérons une situation dans laquelle nous présentons au plus grand savant théologien musulman les résultats d’un électrocardiogramme sous forme de graphe. Y comprendra-t-il quelque chose ? En ce qui me concerne, je n’y comprends pas grand-chose. Je ne vois que des lignes brisées. Si un médecin survient, il se mettra à interpréter le document et dira: « tu as des palpitations, ton pouls est faible, il y a un problème au niveau de l’oreillette gauche et il continuera son diagnostic pendant une heure alors que moi, je ne comprends absolument rien. Je suis ignorant en matière d’interprétation de graphes d’électrocardiogrammes. De l’autre côté, il se peut que quelqu’un puisse posséder le diplôme le plus élevé sur Terre et être malheureusement un ignorant en matière de religion.
Un égyptien détenteur d’un doctorat a effectué une fois le pèlerinage de la Mecque. A son retour, il a émis la remarque suivante : « j’ai constaté que l’opération du pèlerinage est très bien organisée ; cependant, ils devraient la partager en cinq phases ; une phase tous les deux mois, ce serait beaucoup plus reposant et il y aurait beaucoup moins d’encombrement… » Il est clair que nous sommes en présence d’un ignorant, tout professeur d’université qu’il est. Alors qu’on prenait soin de lui dans l’avion, il se plaignait de l’encombrement très épuisant qu’il a connu lors des différents rites du pèlerinage et a fini par suggérer le découpage de l’opération en cinq phases tous les deux mois pour régler tous les problèmes…
C’est ainsi qu’on peut posséder les diplômes les plus élevés tout en étant ignorant, complètement ignorant en matière de religion. C’est pourquoi la recherche de la science théologique est un devoir essentiel pour tout musulman. Mais les études très poussées, celles à plein temps et la spécialisation dans cette recherche constituent un devoir facultatif ; si un nombre restreint s’y consacre, ce n’est pas obligatoire pour les autres. Par contre, connaître les aspects obligatoires constitue un devoir essentiel.
Considérons maintenant un parachutiste à qui on a confié un parachute pour qu’il puisse sauter avec. Il se peut que cet individu ignore complètement la forme de ce parachute, et il ignore s’il est rond, ovale, carré ou rectangulaire. Il ignore également si les cordes sont constituées de matières naturelles ou artificielles. Il ignore toujours combien de cordes comporte ce parachute et de quel genre elles sont, comme il ignore leur couleur. L’ignorance de tous ces détails importe peu pour lui ; par contre s’il n’est pas au courant d’un seul paramètre du parachute, ce sera la chute mortelle: elle consiste en la manière d’ouvrir le parachute qu’il devra impérativement connaître, et en priorité. C’est un devoir essentiel, une condition sine qua non.
En religion, il existe des devoirs essentiels et obligatoires pour tous. Si on est en voiture, il n’est pas nécessaire de connaître la matière de la composition des plaquettes de freins. Il n’est pas non plus indispensable de connaître la structure générale, s’il faut pousser ou tirer ou appuyer. De même le ventilateur, si sa forme est rationnelle, la façon dont il a été fabriqué… Celui qui conduit une voiture peut ignorer un million de détails concernant le véhicule, mais la façon dont on le met en route, comment démarrer, comment l’arrêter, comment on se rabat sur la droite ou sur la gauche, comment on recule ; toutes ces choses sont essentielles et doivent être connues impérativement.
De même les réalités religieuses que chacun doit connaître impérativement constituent un devoir essentiel pour l’individu, qu’il soit médecin, architecte, avocat, étudiant dans un pays étranger. Ces réalités religieuses n’ont rien à voir avec ces spécialités qui ne sont que des métiers.
Un individu peut avoir une spécialité très rare, posséder un diplôme élevé et pourtant on dit: quelqu’un d’intelligent n’est pas nécessairement sage. Il est intelligent dans sa spécialité, mais ne possède pas la sagesse, parce qu’il ne connaît même pas le secret de son existence, le but de sa vie ni ce qui l’attend après la mort. Cet individu peut être considéré comme ignorant. Concernant sa spécialité, il est diplômé en physique nucléaire tout en étant ignorant avec un super diplôme, ce qui peut très bien arriver…